L’article en bref
Anne Vignot, première femme maire de Besançon, incarne le renouveau politique de la ville depuis 2020.
- Parcours atypique : du monde ouvrier à la mairie
- Engagement écologique : membre d’EELV, ancienne directrice du jardin botanique
- Entrée tardive en politique : élue maire à 60 ans
- Leadership affirmé : présidente de Grand Besançon Métropole
Salut à tous ! Aujourd’hui, je vais vous parler d’une figure emblématique de notre belle ville de Besançon. Eh oui, je tiens un bar-café engagé dans le coin, alors autant dire que je suis aux premières loges pour observer la vie politique locale. Alors, attachez vos ceintures, on part à la découverte de celle qui dirige notre cité depuis 2020 !
Une première historique à la mairie de Besançon
Vous vous demandez sûrement qui est le maire de Besançon ? Eh bien, laissez-moi vous présenter Anne Vignot ! Cette femme de caractère a fait une entrée fracassante dans le paysage politique bisontin en juillet 2020. Et croyez-moi, ça a fait du bruit dans mon café !
Anne Vignot n’est pas n’importe qui. Elle est la première femme et la première écologiste à occuper le fauteuil de maire dans notre chère capitale comtoise. À 60 ans, elle a réussi à décrocher la timbale avec 43,83% des voix. Pas mal pour une entrée en matière, non ?
Un parcours atypique
Mais ne croyez pas que Madame le Maire soit tombée du ciel ! Son parcours est aussi riche que varié. Tenez, je vous fais un petit récap’ :
- Née en 1960 dans une cité ouvrière à Tavaux
- Fille d’un ouvrier Solvay et d’une mère au foyer
- Études de géographie à l’université de Besançon
- Ingénieure de recherche au CNRS
- Présidente du Conservatoire régional des espaces naturels de 1998 à 2006
- Directrice du jardin botanique de Besançon de 2006 à 2017
Avouez que ça en jette ! Une vraie self-made woman, comme on dit.
Une élue engagée
Anne Vignot n’est pas du genre à faire les choses à moitié. Membre d’Europe Écologie Les Verts (EELV), elle assume un ancrage politique à gauche et met en place des politiques publiques axées sur l’écologie sociale. Et croyez-moi, ça se ressent dans la ville !
D’ailleurs, j’ai une petite anecdote à ce sujet. L’autre jour, un client m’a raconté qu’il avait croisé Madame le Maire en train de faire du vélo en ville. Ça, c’est de la cohérence !
Du monde ouvrier à la mairie : un parcours inspirant
Je ne sais pas vous, mais moi, j’aime les success stories. Et celle d’Anne Vignot a de quoi faire rêver plus d’un jeune Bisontin !
Des racines ouvrières
Anne Vignot n’est pas née avec une cuillère en argent dans la bouche, loin de là. Elle a grandi dans une cité ouvrière à Tavaux, dans le Jura voisin. Son père était ouvrier chez Solvay et sa mère au foyer. Autant dire qu’elle connaît la valeur du travail et les difficultés du quotidien.
C’est peut-être ce qui explique sa pugnacité et sa persévérance. Des qualités que j’apprécie particulièrement chez nos élus, je dois dire !
Une carrière scientifique avant la politique
Avant de se lancer dans l’arène politique, Anne Vignot a fait ses preuves dans le monde scientifique. Ingénieure de recherche au CNRS, elle a travaillé au laboratoire chrono-environnement. Un domaine qui lui tient visiblement à cœur, puisqu’elle a également été présidente du Conservatoire régional des espaces naturels et directrice du jardin botanique de Besançon.
Tiens, ça me rappelle une fois où j’ai organisé une dégustation de bières locales au jardin botanique. Je me demande si c’est elle qui avait donné son accord… En tout cas, c’était une sacrée soirée !
Période | Fonction |
---|---|
1998-2006 | Présidente du Conservatoire régional des espaces naturels |
2006-2017 | Directrice du jardin botanique de Besançon |
Depuis 2020 | Maire de Besançon |
Une entrée tardive mais remarquée en politique
Vous savez quoi ? Anne Vignot n’est pas une politicienne de carrière. Elle est entrée en politique sur le tard, à 50 ans. Ça donne de l’espoir à tous ceux qui pensent qu’il est trop tard pour se lancer, non ?
Un parcours fulgurant
En à peine une décennie, Anne Vignot est passée de novice en politique à maire de Besançon. Voici son parcours en accéléré :
- 2010 : Sollicitée par EELV pour entrer en politique
- 2014 : Devient adjointe municipale en charge de la transition écologique
- 2020 : Élue maire de Besançon
Et cerise sur le gâteau, elle est également présidente de Grand Besançon Métropole. Pas mal pour quelqu’un qui a commencé « tard », vous ne trouvez pas ?
Une femme de conviction
Anne Vignot n’a pas peur de défendre ses idées. En avril 2024, elle a même déposé plainte contre des pancartes anti-migrants et du harcèlement en ligne. Ça, c’est ce que j’appelle avoir du cran !
Dans mon café, j’entends souvent des discussions animées sur ses décisions. Mais qu’on soit d’accord ou pas avec elle, on ne peut pas lui reprocher de manquer de conviction.
En fin de compte, Anne Vignot incarne une nouvelle génération d’élus, plus proche des préoccupations écologiques et sociales. Son parcours atypique et son engagement font d’elle une figure politique unique dans le paysage bisontin. Qu’on l’apprécie ou non, une chose est sûre : elle ne laisse personne indifférent dans les rues de Besançon !
Sources :